La rénovation parasismique d'un bâtiment ancien
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le 13/10/2025
Chaque année, la Journée Nationale de la Résilience (#JNR) invite chacun de nous à mieux connaître les risques qui nous entourent, à adopter les bons réflexes et à renforcer la solidarité sur nos territoires. - Identifier les risques majeurs près de chez soi - Savoir comment réagir face à un événement grave -Protéger ses proches grâce aux bons gestes et à la compréhension des dispositifs d’alerte En 2024, plus de 10 000 actions ont eu lieu sur tout le territoire : ateliers pratiques, exercices d’évacuation, balades pédagogiques, conférences, rencontres avec les acteurs de la sécurité civile… autant d’occasions d’apprendre à mieux réagir, ensemble. À l’Institut des Risques Majeurs, nous sommes pleinement engagés dans cette démarche : la JNR, bien sûr, mais aussi tout au long de l’année à travers nos nombreuses actions et le Résilience Tour , qui se tiendra du 1er octobre au 6 décembre 2025. Comme le rappellent Serge Taboulot, Président de l’IRMa « Cette JNR, c’est l’occasion de se souvenir des catastrophes qui ont marqué notre territoire, pour se poser la bonne question : et si ça se reproduisait… ? » et gilles piroux, 1er Vice-Président de l’IRMa « Imaginer l'imprévu et se préparer à ce qu'on n'a pas imaginé: c'est l'enjeu de la résilience, pour anticiper, gérer et se relever de la crise. » Pour François Giannoccaro, Directeur de l’IRMa «La Journée nationale de la résilience rappelle que chacun a un rôle à jouer : comprendre les risques, se préparer, et contribuer, dans sa famille, avec ses proches, au travail, sur sa commune ou sur son bassin de vie, à la solidarité du territoire. » Et pour reprendre les mots de Benjamin Franklin ( parce qu’on aime bien sa citation !) : « Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. » Un citoyen capable d’agir, mobilisé et engagé : c’est le cœur de la résilience collective. Ensemble, faisons vivre la culture du risque au quotidien.
le 09/10/2025
8 et 9 octobre 2025 : Deux journées riches d’échanges et de partages d’expériences autour d’un sujet plus que jamais d’actualité : comment adapter nos infrastructures alpines aux effets du changement climatique ? 1️⃣ Le 8 octobre, la journée d’étude a permis, aux cinquante participants, de croiser les regards d’experts, de gestionnaires et d’acteurs de terrain autour de quatre grands axes : -la compréhension des évolutions climatiques dans les Alpes, -l’évolution des aléas et des charges à prendre en compte, -la vulnérabilité des infrastructures, -et les stratégies d’adaptation envisagées. Avec BERNARD AIRENTI (Institut des Risques Majeurs) - Pascal Hagenmuller (Météo-France)- @François Nicot (Université Savoie Mont Blanc) - Florence Marchon (PARN) - Fabrice ROJAT (Cerema) - @Christophe Corona (CNRS) - Gaël Lamberthod - Rémy Martin (ONF-RTM) - Nathalie BERENGER (Cerema) - @David Favre (DIR Centre-Est-SREI de Chambéry) - christophe reinert (ENEDIS) - Justine PONS et Pauline Boch (APTV) - Muriel Lagarde (SNCF Réseau). Au cœur des échanges : des éclairages concrets sur la façon dont les infrastructures peuvent — et doivent — évoluer pour rester résilientes face aux nouveaux risques. 2️⃣Le 9 octobre, la visite du site de Notre-Dame de Briançon est venue illustrer les échanges des 20 participants par un cas concret, avec un retour d’expérience sur les crues de novembre 2023. Aux côtés du service RTM, de l’APTV et ENEDIS, les participants ont pu observer sur le terrain les traces des inondations et ont pu échanger sur les actions de résilience engagées par les acteurs locaux. Ces deux journées, organisées dans le cadre du projet RESAlpes (porté par infra2050 – Pôle Alpin Risques Naturels (PARN) –Institut des Risques Majeurs), en partenariat avec le Cerema, ont permis de renforcer le dialogue entre acteurs du territoire et de partager des retours d’expérience essentiels pour bâtir des infrastructures plus durables et adaptées aux réalités climatiques à venir. Merci à la Mairie de La Lechere pour son accueil et son maire @dominique Colliard mais aussi la Communauté de Communes des Vallées d'Aigueblanche une journée co-corganisée grâce à l'énergie de Guilhem DUPUIS (IRMa)- Olivier CARTIER-MOULIN (PARN) - Margaux Claude (INFRA 2050). ---------------------------------------------------------------------------------- Avec le soutien de : L'Union Européenne (UE) (PO FEDER Massif des Alpes) Région Sud - Provence-Alpes-Côte d'Azur Région Auvergne-Rhône-Alpes le commissariat de Massif des Alpes L'Europe s'engage en Région Sud Fonds européen de développement régional (FEDER) ANCT - Agence nationale de la cohésion des territoires
le 07/10/2025
Contexte Le stage se déroulera au sein de l’UMR RECOVER (Risque Ecosystème Vulnérabilité Environnement Résilience) (INRAE, Aix-Marseille Univ) dont les travaux reposent une approche transversale pour l’étude des risques : étudier, comprendre et modéliser les systèmes ; évaluer le risque, la résilience et les capacités d’adaptation ; développer les outils et scénarios pour une gestion durable et intégrée des systèmes environnementaux des territoires. Les travaux seront développés plus spécifiquement au sein de l’équipe G2DR (Géomécanique Génie Civil Décision Risque) et EMR (Ecosystèmes Méditerranéens et Risques). Objectif du stage L’UMR RECOVER réalise des travaux sur l’efficacité d’outils de communication sur les risques majeurs, destinés au grand public. Dans ce cadre, ont été développés les jeux AventuRisques pour amener les utilisateurs à se questionner sur les risques majeurs, à s’y préparer (préparation du kit d’urgence, connaissance des sirènes, de l’outil FR-ALERT…), et à réfléchir aux réactions à avoir en cas d’évènement. Le sujet porte sur plus spécifiquement sur le jeu AventuRisques Plateau destiné aux enfants de 9-11 ans. Dans ce jeu narratif d’aventures, les joueurs doivent tout d’abord constituer leur kit 72 heures puis résoudre une énigme. Les aventures (une par risque) permettent d’aborder les comportements en cas d’événement. Actuellement, deux aventures ont été développées : l’une sur le risque d’inondation, l’autre sur le risque industriel. L’objectif du stage est (i) de développer deux autres aventures (incendie de forêt, rupture de barrage) ainsi que le tutoriel puis, (ii) de les tester auprès d’un public jeune, et enfin, (iii) le cas échéant de réaliser des améliorations. Le stage comprendra également la rédaction des règles du jeu et du livret de l’animateur. Méthodologie Le stage comportera plusieurs phases : Bibliographie et appropriation de la version actuelle du jeu AventuRisques Conception et réalisation des deux nouvelles aventures (incendie de forêt et rupture de barrage) Tests auprès d’écoliers de communes partenaires Améliorations du jeu Rédaction des règles du jeu et du livret de l’animateur Synthèse et rapport Profil des candidats Etudiant/te en Master 2 – Spécialité Géographie, Gestion des risques ou Médiation scientifique – Le BAFA serait un plus très apprécié Compétences : bonne maîtrise du français nécessaire pour le développement des aventures et la conduite des tests auprès des enfants ; autonomie ; organisation ; goût pour le travail en équipe ; qualités rédactionnelles et de communication orale. Durée, lieu et gratification Durée : 5 à 6 mois (période février 2026 – septembre 2026) Lieu : INRAE – UMR RECOVER – 3275 Route Cézanne – CS 40061 – 13182 Aix-en-Provence Cedex 5 – France Des déplacements, essentiellement dans les Bouches-du-Rhône et dans le Var, seront réalisés. Gratification selon le barème en vigueur. Encadrement Corinne Curt – corinne.curt@inrae.fr Eric Maillé – eric.maille@inrae.fr Pour postuler Envoyer lettre de motivation et CV par mail aux responsables du stage. Les personnes accueillies à INRAE, établissement public de recherche, sont soumises aux dispositions du Code de la fonction publique notamment en ce qui concerne l’obligation de neutralité et le respect du principe de laïcité. A ce titre, dans l’exercice de leurs fonctions, qu’elles soient ou non au contact du public, elles ne doivent pas manifester leurs convictions, par leur comportement ou leur tenue, qu’elles soient religieuses, philosophiques ou politiques. > En savoir plus : site fonction publique.gouv.fr
le 03/10/2025
Faisant suite aux intempéries exceptionnelles d'octobre 2015, le jugement de Biot a marqué un tournant que les responsables et décideurs locaux doivent avoir à l'esprit dans la manière dont les collectivités se préparent aux catastrophes naturelles. Il rappelle que la sauvegarde des populations n’est pas une simple formalité réglementaire. Cette jurisprudence a dégagé des enseignements clés pour une gestion intégrée des risques naturels : 1. Anticiper plutôt que subir Les collectivités ont le devoir de prévoir les scénarios de crise, de disposer de plans de sauvegarde opérationnels, et de ne pas se contenter de réagir en situation critique. 2. Assurer maintien opérationnel des dispositifs Les PCS et dispositifs de gestion de crise doivent être connus, testés et opérationnels — pas seulement consignés dans des classeurs et du papier. La préparation du facteur humain est déterminante. 3. Coordonner les acteurs Communes, services de l’État, secours, associations, ERP, citoyens… la responsabilité est partagée. Une coordination territoriale solide est indispensable pour protéger efficacement les opérateurs du territoire et les administrés tout en considérant, depuis la loi de Fabien Matras, les enjeux de la préparation de la solidarité et de l'entraide intercommunale. 4. Informer et partager la culture du risque Les populations doivent être préparées : connaître les bons réflexes, savoir où se mettre à l’abri, quand évacuer.C'est une obligation. Découvrir hashtag#JNR et le Résilience Tour, c'est en ce moment ! 5. Capitaliser sur les expériences Le retour d’expérience est essentiel pour tirer les enseignements - organisationnels fonctionnels et techniques. Analyse du jugement par Luc BRUNET de Observatoire SMACL des risques de la vie territoriale et associative - Smacl Assurances dans la revue de Institut des Risques Majeurs - Risques Infos n°47 : https://lnkd.in/e9GY26GY 🕯️Se souvenir pour mieux anticiper Il y a 10 ans, le 3 octobre 2015, la Côte d’Azur connaissait une soirée qui a viré au drame. Des orages stationnaires d’une intensité exceptionnelle provoquent des crues soudaines dans les Alpes-Maritimes : 🌧️ 180 mm de pluie en moins de deux heures à Cannes, 156 mm à Mandelieu-la-Napoule. Le bilan est terrible : - 20 morts, dont plusieurs piégés dans des parkings souterrains ou des caves ; - Des centaines de logements et commerces dévastés ; - Des infrastructures submergées, comme l’autoroute A8 ou le stade Allianz Riviera ; - 600 millions d’euros de dégâts. À Cannes, Mandelieu,Biot,Antibes… cette catastrophe a été un électrochoc. L'Institut des Risques Majeurs conserve la mémoire des risques Commémorer les 10 ans ces inondations, c’est : - Honorer la mémoire des victimes ; - Garder vivant le souvenir d’événements extrêmes ; - Ancrer durablement une culture partagée du risque ; - Transformer l’émotion en vigilance collective.

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Découvrez le Risques-Infos 48 :
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JT#6 - L'alerte des populations à l'ere de FR-ALERT :
journée technique #6
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JT#5 - Retour sur le séisme du Teil :
journée technique #5
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JT#4 - Implication citoyenne en cas de catastrophe : réalités et perspectives pour les collectivités :
journée technique #4
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JT#3 - Vigilance, alerte et sauvegarde : prévoir son plan spécifique inondation :
journée technique #3
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JT#2 - Entraide intercommunale et gestion de crise :
journée technique #2
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JT#1 - Entreprises et établissements recevant du public face aux risques et menaces : comment garantir et généraliser la mise à l'abri des usagers et du personnel ?
journée technique #1
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