La décision d'EDF de ne plus retraiter immédiatement qu'une partie du combustible irradié sortant chaque année de ses centrales a considérablement modifié l'idée que l'on se faisait jusqu'ici de la gestion de l'aval du cycle nucléaire. Il faut donc désormais s'interroger, même s'il n'y a pas encore de véritable urgence, sur les conditions dont on pourra entreposer à long terme, de façon sûre et à des coûts économiquement supportables, le combustible qui restera ainsi en attente d'un futur retraitement ou d'un stockage définitif.
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