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l serait trop simpliste de croire que seul le décideur détient le pouvoir de gestion lors d’une situation de crise.
Penser que la population touchée par une situation de désordre reste dans l’attente de l’arrivée des secours pour lui venir en aide est une autre méprise qui conduit immanquablement le management de situation de crise dans l’impasse. S’il fallait s’en convaincre, le principe de réalité nous montre qu’au cours de chaque situation de crise, la population adopte librement des comportements, organisés ou non, lui permettant de parcourir les longs chemins de la résorption du déséquilibre. C’est d’autant plus vrai si la population se retrouve seule, durant une longue période et avec de forts dommages.
Notes : Document disponible sur le site de l'ENSOSP
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