Information des acquéreurs et locataires d'un bien immobilier (IAL) :
http://www.isere.pref.gouv.fr/Politiques-publiques/Amenagement-du-territoire-construction-logement/IAL-Informations-Acquereur-Locataire
Voir aussi la fiche sur Georisques.gouv.fr :
https://www.georisques.gouv.fr/mes-risques/connaitre-les-risques-pres-de-chez-moi
Type d'événement | Secteur | Date | Photos |
1 | chute de pierres et de blocs | La BASTILLE, PORTE DE FRANCE | 11/10/1989 |
2 | chute de pierres et de blocs | Bastille - Quai de France | 03/11/2009 |
3 | tempête | Ile Verte, rue de Mortillet | 22/10/2002 |
4 | tempête | Entre le parc Paul Mistral et l'Isère | 15/05/2007 |
5 | inondation de plaine | Isère | Février 1990 |
6 | inondation de plaine | Quais de l'Isère, voies sur berges | 30/05/2008 |
7 | inondation de plaine | Isère | 31/05/2010 |
8 | inondation de plaine | Voies sur berges | 10/05/2013 |
9 | inondation de plaine | Voies sur berges | 21/06/2013 |
10 | inondation de plaine | Quais de l'Isère, voies sur berges | 02/05/2015 |
11 | glissement de terrain | Quai PERRIERE | 21/01/1951 |
12 | glissement de terrain | Quai des ALLOBROGES (14) | 28/01/1999 |
13 | écroulement | Montée CULARO | 12/1996 |
14 | éboulement | PORTE DE FRANCE | 18/03/1665 |
15 | éboulement | Descente de L’EYGALA | 19/01/1951 |
16 | éboulement | Quai de FRANCE | 21/12/1952 |
17 | éboulement | Quai de FRANCE (n° 2) | 19/12/1982 |
18 | éboulement | Quai PERRIERE (n°74) | 03/11/1952 ; 10/041957 ; 29/01/1998 |
19 | éboulement | La BASTILLE,école d’escalade, partie sud de la carrière | 06/02/1987 |
20 | éboulement | La BASTILLEJardin des Dauphins | 11/10/1989 |
21 | éboulement | Quai des ALLOBROGES (n° 10) | 12 et 13 04/1994 |
"AP SYMBHI PAPIGresZonagesPluv ,AP PAPISanneZonagesPluv , AP SIRRA PAPI4ValleesAnimation2023 , AP SIRRA PAPISanneAnimation2023, GAM PAPIDracLavanchon , Subvention CLAIX , Subvention GRENOBLE, Subvention LA TRONCHE , Subvention LUMBIN, Subvention Montbonnot Saint Martin, Subvention SINARD, Subvention VALBONNAIS."
"En rive droite du Drac dans l’agglomération grenobloise, une nappe phréatique est polluée de longue date, notamment par les produits d’une ancienne décharge de la plateforme chimique du Pont-de-Claix. Des travaux débuteront dès cet été. . L’eau potable n’est pas concernée. À l’heure du réchauffement climatique et de la raréfaction de cette ressource à l’échelle nationale, cette eau disponible mais impropre suscite des interrogations. On y retrouve entre autres des solvants chlorés et des pesticides issus de l’activité industrielle.« Des travaux vont s’engager sur la décharge ouest de la plateforme chimique au Pont-de-Claix, pour l’isoler de la nappe et des eaux de pluie. » Il faudra des années pour remédier à cette situation « et nous poussons les industriels à aller plus vite », explique Mathias Pieyre. Avec un objectif en tête : « On ne sait pas précisément donner une échéance mais on espère traiter l’ensemble des sources [de pollution] d’ici 2028-2029. ». Les travaux pourraient avoisiner 80 millions d’euros, à la charge des industriels, qui ont refusé de nous le confirmer."
"Venez échanger le 10 mai à Varces Allières-et-Risset, le 24 mai à Fontaine et le 31 mai à Grenoble. Dans le cadre du programme d'actions de préventions des inondations (PAPI) porté par le Symbhi, le Drac évolue. A partir de 2025, des travaux majeurs débuterons afin d'améliorer la protection contre les inondations du Drac. Ce programme d'actions doit permettre de renforcer la protection des inondations pour les personnes et leurs biens, tout en favorisant la restauration de la biodiversité et en menant une réflexion sur de nouveaux usages sur et aux abords du Drac. Cette plateforme doit vous permettre de suivre l'avancée du projet, de participer à sa définition et de prendre connaissance des évènements ouverts au grand public (réunions publiques, ateliers de travail thématiques, visites de terrains) qui se tiendront tout au long de l'année 2023."
"La fondation Ice Memory vient de mener sa huitième campagne de forage de glaciers dans le Svalbard, en Arctique. Les carottes de glace prélevées, considérées comme des archives du climat, seront conservées en Antarctique à partir de 2024. En attendant, elles sont en partie stockées à Grenoble dans une des plus grandes "carothèques" du monde pour les chercheurs du futur."
"Pour limiter le risque incendie à l’approche de l’été, les services de l’Etat ont engagé un débroussaillement sur les pentes de la Bastille à Grenoble. Trois associations de protection de l’environnement dénoncent cette action. Pour la LPO, FNE et l’association de protection de la nature Gentiana, il est allé bien au-delà : "Il aurait fallu conserver des îlots de végétation pour que ça puisse représenter des zones de refuges pour la biodiversité, élaguer simplement à 2 mètres pour ne pas trop impacter les arbres dans leurs besoins vitaux au quotidien et puis ne rien broyé, c’est-à-dire maintenir au sol tous les branchages qui ont été débroussaillés pour permettre d’abord une alimentation, un apport en compostage pour l’humus, car ça se fait progressivement avec le temps," explique Julien Perrier, administrateur bénévole à France Nature Environnement. "
"Le CEA a été autorisé, par décret, en 2008, à procéder aux opérations de mise à l’arrêt définitif et de démantèlement de ces installations. Les opérations de démantèlement et d’assainissement se sont achevées en 2016. A l’issue de ces opérations, les sols présentent encore à un endroit localisé, une contamination radiologique et chimique résiduelle. L’ASN considère que ces opérations ont permis d’atteindre un état final compatible avec l’usage prévu pour le site, de type industriel. A l’issue des travaux, et en application de l’article R. 593-73 du code de l'environnement, le CEA a adressé à l’ASN, en juin 2021, un dossier de demande de déclassement des INB 36 et 79. Compte tenu de l’état final du site atteint après démantèlement, l’ASN a subordonné ces déclassements à la mise en œuvre de servitudes d’utilité publique (SUP), qui permettent de limiter l’usage du site à des usages industriels et de garder la mémoire de la pollution résiduelle. L’ASN, saisie pour avis par le préfet de l’Isère, a donné un avis favorable au projet d’arrêté instituant des servitudes d’utilité publique."
"Le risque d'inondation à Grenoble augmente au fil des années et les habitants vont devoir se préparer à une crue alors qu'ils n'en ont jamais vécu. Précisions avec une spécialiste. « Il n’existe pas de comportement parfait. » C’est en partant de ce postulat que la scientifique spécialisée dans le comportement des populations lors d’inondation livre les attitudes à adopter. « Les études démontrent que les crues en journée sont dangereuses pour les personnes actives qui sont considérées comme vulnérables », selon Isabelle Ruin. Les rares victimes d’une inondation en France sont les individus qui n’arrêtent pas assez vite leur activité. La vraie question à se poser est « qu’est-ce qui est prioritaire ? », interroge Isabelle Ruin. Selon les études statistiques menées, environ 15% des victimes sont dues à un comportement négligent et peuvent donc être évitées. « Tant que les habitants n’ont pas les pieds dans l’eau, ils ont tendance à repousser leur réaction parce que changer son quotidien demande de l’énergie ». "
"Un guide à visée opérationnelle a été réalisé pour aider les acteurs de l'aménagement à intégrer dans l'aménagement du territoire les risques, en particulier le risque inondation, et ainsi réduire la vulnérabilité aux inondations. Grenoble-Alpes Métropole est engagée depuis 2017 dans une stratégie de résilience vis-à-vis des risques majeurs sur son territoire. Parmi les axes de travail de la collectivité figure l’adaptation de l’urbanisme aux aléas. Ceci s’est traduit notamment dans le PLUi avec des règles de prévention des risques dans les pièces écrites et graphiques du règlement, ainsi qu’une Orientation d’Aménagement et de Programmation thématique Risques et Résilience dédiée. Dans le prolongement du PLUi et en complémentarité des PPRI/PPRN de l’Etat, Grenoble-Alpes Métropole et le Cerema, avec l'appui de l'Agence d'Urbanisme de la Région Grenobloise, ont animé une démarche collaborative avec les différents acteurs de la chaine de l'aménagement (aménageurs, promoteurs, concepteurs, architectes, bureau d'étude, collectivités, services de l’État, etc.). Des entretiens et trois ateliers de travail participatifs ont permis d’identifier les besoins, de sélectionner les contenus prioritaires et de stabiliser la forme du guide technique métropolitain."
"Si la ville de Grenoble n’a pas connu d’inondation dévastatrice depuis 1859, le risque ne s’est pas pour autant évaporé. Sécheresse, augmentation du niveau des mers, phénomènes météo extrêmes : le changement climatique pourrait avoir des incidences sur le risque de crue dans la capitale des Alpes. Juliette Blanchet, chercheuse à l’Université Grenoble Alpes note deux phénomènes qui pourraient accentuer le risque d’inondation dans la capitale des Alpes : « Les fortes inondations sont dues aux précipitations et l’on sait qu’avec le réchauffement climatique, les orages puissants sont davantage fréquents », explique la scientifique. Un autre marqueur inquiète les spécialistes : « En asséchant les sols, les récents épisodes de sécheresse à Grenoble ne permetent plus au sol d’absorber l’eau. Cela pourrait entraîner une crue soudaine qui créerait d’énormes dommages », alerte Juliette Blanchet. On sait par exemple que les précipitations extrêmes toucheront le sud de Grenoble, donc le Drac, car cette zone est soumise au climat méditerranéen. Pour conclure, la scientifique de l’Université de Grenoble explique que « le risque d’inondation n’est pas arrivé avec le réchauffement climatique, mais que ce dernier l’accentuera dans les prochaines années »."
"Avec des ouvertures plusieurs dizaines de fois par jour, les portes des écluses sont soumises à de fortes pressions. Les matériaux utilisés subissent efforts et contraintes, ainsi qu’une fatigue qu’il est nécessaire de repérer et d’anticiper pour entretenir les ouvrages hydrauliques et éviter tout risque de rupture. La réglementation prend déjà cela en compte mais l’équipe de la chaire Medelia veut aller plus loin en concevant des modélisations plus précises. Mi-février, la fondation Grenoble INP a créé cette chaire d’enseignement et de recherche pour une durée de quatre ans. Le groupe Artelia finance le projet pour en faire bénéficier sa filiale Spretec, société d’ingénierie mécanique. Julien Baroth et Rafaël Estevez, tous deux chercheurs au CNRS, pilotent cette chaire. L’équipe va s’appuyer sur le couplage mécano-probabilistes pour mieux comprendre le comportement de ces ouvrages, « on met le doigt sur les paramètres de conception de ces portes. Ça peut déboucher sur une évolution dans leur conception, sur la qualité des matériaux et leurs assemblages », explique Julien Baroth."
Quand la Science prend de l'altitude, aux Rencontres Montagnes et Sciences de Grenoble Reportage du 23/11/2016 |
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Le concours Mémo'Risks à Grenoble, clôture au théatre avec les élèves participants Reportage du 28/03/2013 |
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dégâts dans la rue Mortillet à Grenoble 23 octobre 2002
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dégâts dans la rue Mortillet à Grenoble 23 octobre 2002
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Crue de l'Isère Février 1990
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Crue de l'Isère Février 1990
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Crue de l'Isère Février 1990
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Crue de l'Isère Février 1990
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Crue de l'Isère Février 1990
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vents violents sur la région grenobloise 15/05/2007
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vents violents sur la région grenobloise 15/05/2007
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vents violents sur la région grenobloise 15/05/2007
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vents violents sur la région grenobloise 15/05/2007
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