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Le Maroc a eu à affronter une situation qui aurait pu donner lieu à une pollution marine aussi grave que celle qui a souillé les côtes françaises lors des naufrages des pétroliers Amoco Cadiz, Erika et Prestige.
Le temps et les conditions de l'échouement n'étaient pas favorables, mais le calme des autorités et la qualité des analyses de leurs données du risque en situation d'urgence ont permis un épilogue heureux.
Ce document est extrait de : Préventique
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