Après l’accident, les 54 réacteurs nucléaires japonais, qui fournissaient un peu moins de 30 % du courant électrique, se sont arrêtés les uns après les autres, le dernier en date, en mai 2012.
La perte des réacteurs a été presque intégralement compensée par les énergies fossiles importées.
Deux réacteurs ont pu être redémarrés en juillet 2012 pour faire face au risque de pénurie lors du pic d’été et une réorganisation du secteur nucléaire au niveau de la sûreté est en cours.
Ce document est extrait de : RGN Revue Générale Nucléaire
Mots clés :
[ Ressource électronique ]
0000, Paris : Ecole des Mines de Paris
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2025, Echos de science
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2019, Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage WSL
[ Rapport / bilan / guide ]
2023, Conseil Général de l'Environnement et du Développement Durable (CGEDD)