Le secteur de l’immobilier est très vulnérable aux risques liés au changement climatique. Leur durée de vie implique que les bâtiments construits aujourd'hui devront faire face à un climat nouveau, plus instable et ponctué d'événements extrêmes.
Alors que les coûts de la non-adaptation sont assumés à ce jour principalement par les assureurs, l’augmentation de l’ampleur et de la fréquence des évènements va reporter de plus en plus le coût de la non-adaptation sur les acteurs de l’immobilier (par le biais de l’augmentation du prix des primes ou de l’existence de clauses de non-assurance pour des biens très exposés aux aléas climatiques.
La nécessité d’initier une démarche d’adaptation du parc bâti en France et ailleurs est donc indispensable pour limiter les coûts futurs, qu’ils soient assuranciels ou bien liés à une reconstruction après un sinistre, bien souvent plus conséquents que l’adaptation par anticipation.
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Voir aussi :
[ Ressource électronique ]
0000, Paris : Ecole des Mines de Paris
[ Ressource électronique ]
2025, Echos de science
[ Ressource électronique ]
0000
[ Ressource électronique ]
2019, Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage WSL
[ Rapport / bilan / guide ]
2023, Conseil Général de l'Environnement et du Développement Durable (CGEDD)