"Selon Thierry Ribault, chercheur en sciences sociales au CNRS, pour qui la résilience est une « funeste chimère », un mode de « gouvernement par la peur de la peur » qui confisque le consentement des populations. Elle oblige, à son avis, à « vivre avec » des conséquences et des dégâts provoqués par les crises au lieu de s’interroger en amont pour agir sur les causes. Un constat qui s’inscrit dans le prolongement de ses travaux sur le Japon, où il a vécu et travaillé pendant quatorze ans, et assisté depuis Kyoto à la catastrophe de Fukushima, en 2011."
Ce document est extrait de : La Gazette des communes, des départements, des régions
Mots clés :
[ Ressource électronique ]
0000, Paris : Ecole des Mines de Paris
[ Ressource électronique ]
2025, Echos de science
[ Ressource électronique ]
0000
[ Ressource électronique ]
2019, Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage WSL
[ Rapport / bilan / guide ]
2023, Conseil Général de l'Environnement et du Développement Durable (CGEDD)