"Dès 2019, une étude des risques et vulnérabilités climatiques a ainsi été entreprise pour les ouvrages d’assainissement et de démergement (dispositifs mis en œuvre pour évacuer les eaux afin de prévenir les inondations dues aux affaissements miniers), ainsi que pour les installations de production et de distribution d’eau potable en Wallonie (Belgique). Les objectifs poursuivis étaient de fournir un outil d’aide à la décision ainsi que proposer des mesures susceptibles d’être intégrées dans les différents projets collaboratifs du secteur. Le secteur de l’eau présente en effet certaines spécificités : outre son indispensable continuité de service tant sanitaire qu’environnemental et sociétal, il est également fortement soumis aux aléas et connecté avec le milieu naturel. Sur la base des risques identifiés comme significatifs en fonction des sous-secteurs et des cas (inondations, précipitations abondantes, fortes chaleurs et sécheresses), les options d’adaptation proposées au terme de l’étude démontrent la nécessaire collaboration entre les acteurs du cycle anthropique (dont ceux cités ci-avant) et naturel de l’eau, pour renforcer les dispositifs et leur succès."
Mots clés :
[ Ressource électronique ]
0000, Paris : Ecole des Mines de Paris
[ Ressource électronique ]
2025, Echos de science
[ Ressource électronique ]
0000
[ Ressource électronique ]
2019, Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage WSL
[ Rapport / bilan / guide ]
2023, Conseil Général de l'Environnement et du Développement Durable (CGEDD)