Information des acquéreurs et locataires d'un bien immobilier (IAL) :
http://www.isere.pref.gouv.fr/Politiques-publiques/Amenagement-du-territoire-construction-logement/IAL-Informations-Acquereur-Locataire
Voir aussi la fiche sur Georisques.gouv.fr :
https://www.georisques.gouv.fr/mes-risques/connaitre-les-risques-pres-de-chez-moi
Type d'événement | Secteur | Date | Photos |
1 | chute de pierres et de blocs | Les Terreaux | 1987 |
2 | chute de pierres et de blocs | Les Sanatoriums | 1984-1987 |
3 | chute de pierres et de blocs | Les Sanatoriums | 1990-1994 |
4 | crue torrentielle | Le Margain | 1834 |
5 | crue torrentielle | Les Vials | 12/1992 |
6 | avalanche | Les Vials ; Le Pelloux | 1699 |
7 | avalanche | Les Gandains | 01/03/1853 |
8 | avalanche | Les Gandains | 12/01/1968 |
9 | avalanche | Les Sanatoriums | 05/03/1970 |
10 | avalanche | Les Sanatoriums | 03/02/1978 |
11 | avalanche | Le Pelloux | 03/02/1978 |
12 | avalanche | Domaine skiable | 03/02/1978 |
13 | avalanche | Les Sanatoriums | 18/01/1981 |
14 | avalanche | La Cité | 18/01/1981 |
15 | avalanche | Domaine skiable | 20/01/1981 |
16 | glissement de terrain | Domaine skiable | 1982 |
17 | glissement de terrain | Les Chatains ; les Gandains | 13-14-15/02/1990 |
18 | glissement de terrain | Lieu-dit "Saussa" | 13-14-15/02/1990 |
19 | glissement de terrain | Domaine skiable | 13-14-15/02/1990 |
20 | glissement de terrain | Les Gandains | 02/1991 |
21 | glissement de terrain | Les Gandains | été 1999 |
22 | ruissellement de versant / ravinement | Le Pelloux | 13-14-15/02/1990 |
23 | éboulement | Les Sanatoriums | 1973 |
24 | éboulement | Le Fangeat | mai 1995 |
25 | éboulement | Pilier sud de la Dent de Crolles | 23/10/2010 |
"En Nord-Isère, de nombreuses communes sont marquées par le souvenir douloureux de phénomènes météorologiques extrêmes. Coulées de boue, inondations, arbres couchés sur la route… chaque maire a en tête un exemple concret de dégâts occasionnés par des orages violents, qu’il remonte à 2002, 2014, ou encore aux derniers orages de juin. À leur niveau, les élus s’accordent à dire que ces phénomènes sont de plus en plus présents, et que la reconstruction après leur passage s’accompagne de coûts importants. Pour eux, le constat est simple : il faut s’adapter. Les communautés d’agglomération ne sont pas en reste pour s’armer contre les phénomènes météorologiques violents. À la Communauté d’agglomération Porte de l’Isère (CAPI), « on accompagne chaque commune pour qu’elle se munisse d’un plan communal de sauvegarde ». "La région sera de plus en plus touchée par les précipitations torrentielles dans les décennies à venir.", Denis Roy, responsable Météo France des Alpes du Nord?"
"Les premiers appels ont afflué vers 19 heures, ce lundi 12 juin. Les secteurs les plus touchés ont été les communes du pourtour du lac de Paladru, Oyeu, Châbons ou Rives dans un premier temps. Sur ces secteurs, des cumuls de pluie de 40 à 60 mm ont été relevés, selon les estimations de Météo Centre Isère. Caves et garages ont été inondés, des chaussées submergées. Comme à Châbons et Val-de-Virieu où de nombreux ruissellements ont été constatés. Tout comme Montagnieu et Chassignieu. À 22 heures, le Sdis 38 avait déjà enregistré 70 interventions. Puis au fil de la soirée, les orages se sont déplacés vers le Voironnais ainsi que l’agglomération grenobloise et le Grésivaudan. Dans le Grésivaudan, le sol des garages de cinq maisons a ainsi été recouvert d’une trentaine de centimètres d’eau en quelques minutes chemin des Sétérées-du-Dessous à Meylan. L’entreprise Tornier, à Montbonnot-Saint-Martin, a été inondée. Un faux plafond imbibé d’eau est partiellement tombé dans le théâtre situé place de l’Agora à Saint-Ismier. L’orage a également provoqué une nouvelle coulée de boue qui a coupé la route départementale 30 sur la commune du Plateau-des-Petites-Roches. À Rives, une grande partie du cimetière et du parking attenant a été inondée, 80 centimètres d’eau étant enregistrés par endroits. Un glissement de terrain a totalement coupé les voies SNCF à la hauteur de Rives, sur la ligne Grenoble-Lyon. Enfin, une coulée de boue a coupé la RD 73C entre les communes de Beaufort et Thodure."
"Cet hiver, la station de ski de Saint-Hilaire n’a pas pu ouvrir. Une fermeture qui est tout de même due au dérèglement climatique. Dévastée par une lave torrentielle en décembre 2021, Saint-Hilaire n’a pas encore trouvé les ressources nécessaires à la relance de ses équipements hivernaux. Déjà parce que son équilibre financier dépend du funiculaire, lui aussi grande victime des intempéries. Et son avenir (comme celui de la station) reste suspendu à deux études aléas chutes de blocs et risques torrentiels. Les premiers résultats sont attendus cet été, au plus tard cet automne. Ils scelleront le sort du funiculaire et débloqueront (ou pas) la situation complexe dans laquelle se trouve la station. Une réflexion collective souhaite dessiner un scénario de sortie de crise : faire de cette station un site quatre saisons."
"Imaginer une suite à la catastrophe du 29 décembre 2021… C’était là tout le propos du conseil municipal du Plateau-des Petites-Roches, jeudi soir. Un an plus tard, un avenir semble possible pour la station de ski de Saint-Hilaire ravagée par une coulée de boue et des pluies torrentielles. Un avenir, toutefois, suspendu à la décision du Grésivaudan. Le territoire va-t-il valider le projet quatre saisons co-construit par le groupe de travail désigné pour sauver la station ? Mais plus encore, va-t-il accepter le principe d’un transfert ? Économiquement et techniquement, cela semble la seule solution viable pour la station. Mais cela implique que le Grésivaudan ne reprenne pas seulement une régie de remontées mécaniques aujourd’hui déficitaire, mais aussi un funiculaire à terre, ravagé et à l’arrêt depuis ces funestes intempéries."
"Il s’est passé près d’un an depuis la catastrophe de Montfort et les violentes intempéries qui ont gravement endommagé le funiculaire de Saint-Hilaire. Les premières études pour déterminer l’aléa chutes de blocs ainsi que le risque torrentiel auraient dû sortir fin 2022. Elles ne commenceront qu’en février 2023. Le marché vient tout juste d’être lancé. La première porte sur la dangerosité de la falaise de Chartreuse. Elle va déterminer l’aléa “chute de blocs”. La seconde vise le risque torrentiel lié au cours d’eau de Montfort. Leurs travaux devraient durer au moins cinq mois. Ce qui laisse supposer une restitution des premiers résultats au mieux pour l’été 2023, mais plus probablement en fin d’année."
"A Saint-Pancrasse, sur le plateau des Petites Roches, une réunion publique était organisée ce mercredi soir pour discuter entre élus, socioprofessionnels et habitants de l’avenir de la station de ski de Saint-Hilaire-du-Touvet (Isère). Suite aux intempéries de décembre 2021 qui ont provoqué de grosses inondations, et emporté, avec elles, la gare d’arrivée du funiculaire du Lumbin, et à cause de certains hivers sans neige, c’est toute l’économie du plateau touristique qu’il faut repenser.des intempéries."
"Le dossier d’exécution intitulé « Gestion sédimentaire des retenues de la basse Isère (Beauvoir, Saint-Hilaire, Pizançon, la Vanelle et Beaumont Monteux) – Demande d’autorisation pluriannuelle de travaux d’entretien des retenues de la basse Isère » déposé le 26 octobre 2018 et complété le 10 février 2021 est approuvé. EDF est autorisée à mettre en œuvre les opérations de chasses sédimentaires et d’abaissements périodiques inter-chasses selon les modalités décrites dans ce dossier et sous réserves des prescriptions énumérées dans les articles qui suivent."
"Reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle ont été examinées pour les dommages causés par les inondations et coulées de boue et mouvements de terrain (hors sécheresse géotechnique)." Ardeche, Isere concernés.
"Un mois et demi s’est écoulé depuis la catastrophe du 29 décembre 2021 et le terrible épisode de pluies torrentielles dévastant la gare de départ du funiculaire du Touvet à Lumbin. Le chantier de sécurisation provisoire du site et du torrent de Monfort mené par le Syndicat mixte des bassins hydrauliques de l'Isère (Symbhi) est quasi achevé. Point d’étape avec Pierre Forte, le maire de Lumbin. "
"Au pied du massif de la Chartreuse, la gare de Montfort, départ du funiculaire du Touvet situé à Lumbin (Isère) à 260 mètres d'altitude, a été en partie dévastée par un torrent mercredi, alors que Météo France avait placé l'Isère en vigilance orange aux fortes pluies et inondations. Les quantités d'eau tombées sans discontinuer pendant vingt-quatre heures ont fait gonfler les torrents et ruisseaux du versant. Ainsi, cette gare de départ a été envahie par des boues et rochers. Le bâtiment avait été rénové durant l'été 2020. Des équipements, canons à neige et pistes de la station de ski de Saint-Hilaire-du-Touvet ont été fortement endommagés par les eaux et la boue."
Vue aérienne de la Dent de Crolles 03/09/2010
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Le plateau des Petites-Roches dominé par la Dent de Crolles 17/05/2016
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Le plateau des Petites-Roches dominé par la Dent de Crolles 17/05/2016
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Le plateau des Petites-Roches dominé par la Dent de Crolles 17/05/2016
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Le plateau des Petites-Roches dominé par la Dent de Crolles 17/05/2016
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Eboulement sur le pilier sud de la Dent de Crolles le 23 octobre 2010 28/09/2011
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Eboulement sur le pilier sud de la Dent de Crolles le 23 octobre 2010 28/09/2011
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Les sanatoriums du Plateau des Petites Roches 28/09/2011
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Les sanatoriums du Plateau des Petites Roches 28/09/2011
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Les sanatoriums du Plateau des Petites Roches 28/09/2011
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Les sanatoriums du Plateau des Petites Roches 28/09/2011
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Les sanatoriums du Plateau des Petites Roches 28/09/2011
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